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Dans ce zénith immense !
Qu’aurais-je à conter, aux âmes devenues sourdes ?
Pourquoi devrais-je porter un si pesant fardeau ?
À présent, peu m’importe ceux qui souffrent.
Transformée sans pitié, sans bonté, en flambeau
Souillée, intrigué, imparfaite ;
En mon cœur, reflète cette haine.
Les vents dénoncent mes solitudes
Rejetant mes rumeurs inavouables et confuses.
Azur, tombeau, hallucination ;
Fusion d’amalgame, odeur de trahison.
Mon âme dans la nuit
Frissonne à ces bruits.
Orages ou clémence
Dans ce zénith immense…
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