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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 17:05
Exprimer son ressenti
Écrire juste un petit billet
Pour exprimer une pensée
Parler aussi parfois d'amour
En évitant les grands discours
Traduire avec une certaine candeur.
Cette lueur qui vient du cœur
Garder en soi cette euphorie
En exprimant son ressenti
Laisser son âme s’éclipser
Dans les méandres inavoués
Au fil des jours, la voir guérir
Dans le jardin des souvenirs.
Osez parler du bon vieux temps
Comme de vieux amants
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 17:04
Doit-on vider son cœur ?
Au plus profond de nos cœurs
Des trésors sont confinés
Comment parvenir à balayer
Ce mal sans rancœur
Comment oser dire cette vérité
Sans trop déranger
Faut-il garder ce secret
Celui qui nous fait pleurer
Ou bien faut-il vider son cœur
Sans crainte et sans peur
Ce qui semble être une épice secrète
Finis un jour par nous tourner la tête
Comment libérer son âme tourmentée
Comment pardonner sans être abusée
Dupée mainte fois
La peur d'être refoulée s'entrevoit
Doit-on rester soumis et exclu
En face d'une tentative déchue...
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 15:52
Comment dois-je m’exprimer
Comment dois-je ouvrir mon cœur
Vu, qu’il me ronge de l’intérieur !
Avec la peur de m’exprimer
Je deviens froide et fatiguée
J’en oublie les bonnes manières
Mon cœur devient pierre
Parfois, certains mots me blessent
Se transformant en détresse
Devant le silence,
Les mots deviennent superflus
Vis-à-vis de la souffrance
Tout devient morne et obscur
Je devrais dire ce qui doit être dit
Même si cela me fragilise
Ne plus me cacher, face du danger
Avec détermination, le maîtriser
Satisfaire mes envies avec peu
Pour que ma vie devienne bleue
Ouvrir naturellement mon cœur
Lorsque apparaît la douleur
Ne plus m’enfuir devant les obstacles
Les combattre avec force et rage
Mais, une part de moi s’est évanouie
Dans les méandres de ma vie
Oublier de penser tout haut
Qu’en ma vie subsiste un tombeau
Ne plus vivre de rêve interdit
Ni d’yeux rougis de larmes vives
Maudire ce corps inutile
Reflet d’un miroir, devenu fragile
Avide de perfection
Je réitère mes privations
M’imposant un idéal
Une vie sans fin, de dédale
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 15:52
Deux univers
Ma vie comporte deux royaumes
Mais si différent en sommes
L’un englobe ma vie privée
Que je protège en secret.
Malgré toutes mes attentions
Je me perds dans mes fictions
En trahissant les règles
En décrivant mes mystères.
Donc, sans turpitude
Je vous narre mes habitudes.
Tout en vous relatant ma liberté
En confidences intimes.
L’âme éternelle inhabitée
Vacille en douce rêverie.
Deux univers se soumettent à moi !
L’autre plus divin
Un peu moins humain.
Constitué de récits poétiques
Dans un domaine fantastique.
Je peux m’inventer
Des milliers de secrets.
Des amants éperdus
Au reflet confus.
Je guide ainsi ma plume
Au fil de mes lectures.
Elle subsiste en mon irréel
Un monde artificiel.
Libérée, l’âme se délie
En un azur qui brille.
Deux univers se soumettent à moi !
D’où résulte un tel engouement ?
Assurément d’un récit d’une légende.
Semblable, à l’espérance trouvée
En d’autres temps imaginés.
Dans cette euphorie verdoyante
Je côtoie le plaisir naissant.
D’une profonde harmonie
Ainsi à l’infini.
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 15:01
Avant qu’il ne soit trop tard
Les yeux imbibés de larmes.
Seigneur Dieu, je proclame
Le cœur empli de nostalgie
En vain, je m’adresse à lui.
Formulant certaines requêtes
Trop souvent demeurés secrètes.
Doit-on verser des pleurs
Pour un monde meilleur !
Jusqu’où ira cette folie
Rendant les gens agressifs.
Quelle solution employée ?
Pour atteindre un monde plus enjoué.
De ce peuple en déséquilibre
Rendant les gens insoumis.
Effigie des folies passagères
Devenant de plus en plus meurtrières.
Comment rendre notre société
Plus aimable, moins souillée.
Tous ceux qui croient en toi
Délaissées, portent leurs croix
Seigneur Dieu de tous
Si tu existes vraiment
Rends moins sots tes enfants
Avant qu’ils ne disparaissent un jour
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 14:43
Lorsque la nuit devient profonde
Je songe à votre odieux mensonge
Je deviens une âme en peine
Dans les méandres de cette scène
Vous avez fort bien joué ce rôle
Celui d'un fort bien gentilhomme
La journée fut forte agréable
Mais coupable était votre langage
Comment ai-je pu croire vos fadaises
Celles dites avec temps de finesse
Grand Dieu, ai-je été sotte
De croire en vos belles paroles
Aujourd'hui, je suis blessée
De vous avoir ainsi trop aimé
Mais ne croyez pas monsieur
Que mon cœur soit malheureux
Certes, à nouveau il brûlera
Mais cette fois, dans d'autres bras.
Un être dévoué, saura mieux que vous
M'allouer un plus bel, et plus grand amour
Ne cherchez point à me revoir
Ne garder surtout plus d'espoir
Je vous tire donc ma révérence, MONSIEUR !
Par cette missive, je vous fais part de mes adieux !
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 13:12
Pauvre petite fille
Tu n’as rien pressenti
Quand il t’a volé ta vie
Les cheveux au vent
Tu courrais vers l’océan
Nu-pieds sur le sable chaud
Tu rêvais les mains dans l’eau
Les vagues aux couleurs irisés
Te bercer de leurs pensées
Tu aspirais à saisir là-haut
Un morceau de soleil
Accroché au ciel
Mais soudain, ce fut le chaos
Il était caché sur la dune
Cet homme à la barbe brune
Il t’a souri, puis a réussi
À t'entraîner vers son paradis
Il te paraissait fort gentil
Alors sans méfiance tu l’as suivi
Tu ne savais pas
Ou te guider ses pas
Mais très vite tu compris
L’erreur que tu avais commise
Aujourd’hui, tu restes dans le noir
Tu t’accroches au dérisoire
Tu vis une vie de recluse
Depuis ce jour de torture
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Par Cynderella le 8 Juin 2019 à 12:50
J'aimerai de mes doigts
Avec le fil de mon amour
Broder sur ta peau
L'image de ma passion
Mais le fils est trop court
Mon amour trop puissant
Je reste sans recours
Devant mon découragement !
Certes, tu as des sentiments
Mais sont-ils aussi forts
Que ceux que mon cœur ressent.
Dans l'alcôve de tes bras ;
Et j’en oublie mes tracas.
Mais durant combien de temps ?
Devrai-je vivre dans l'attente.
De la certitude d'un amour partagé.
Sans l'ombre d'un secret…
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