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    Complainte


    Les yeux pleins de larmes
    Je m’adresse à dieu
    Écoutera-t-il mon desiderata
    Pour ses gens malheureux


    Prisonnier de leurs âmes
    Et de leur corps en flamme
    Suscitant leurs prières
    Si souvent meurtrières


    Pour un monde meilleur
    Faut-il autant de pleurs
    De folies partagées
    Dans un monde de rivalités


    Prisonniers de leurs idées

    Sournoises, et mystifiées

    Ils restent dans le noir

    Sans s’en apercevoir


    Faut-il croire en ce monde

    En cette foi profonde
    Croyance inopinée
    Qui détruit la société


    Ce sont nos enfants
    Qui trinque trop souvent
    Seigneur, Dieu de chacun
    Existes-tu vraiment ?


    Sollicite tes enfants

    Qu’ils restent très prudents
    Tous ceux qui croient en toi

    Eux ; porte encore leur croix

     



    Complainte

    Astres divins  

     

     

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    La poésie restera sans nul doute
    Le refuge des âmes et des cœurs en déroute


    Du fou ou du poète, les rêves sont truqués.
    Tu entrouvres les lèvres, et des lettres perlées.


    S’enroulent dans ma tête, pour mieux se reformer.
    En mots qui dégringolent, cascade de coroles.


    Je resterais des heures, à m’abreuver de toi.
    Vampirisant ton cœur, engloutissant ta voix


    En rime singulière, tout en restant mystère
    Apprivoiser ton âme, ça ! Je saurais faire …

     

    Astres divins  

     

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    L’ombre du passé

     

    Dans l’ombre du passé

    Vivre pour oublier

    Nos moments d’aigreurs

    Intensif ; moment de douleurs.

    Durant des jours des mois

    On demeure sans voix

    Voulant tout délaisser

    Passé, présent, et avenir

    Tout repousser et s’enfuir

    Ne plus voir l’aurore se lever

    Ni l’aube, se coucher

    Vouloir oublier son identité

    Pour oublier son passé

    Ne plus parler, juste dormir

    Pour oublier nos supplices.

    Ne plus oser se libérer

    Des ombres du passé

    Fermer les paupières

    Garder nos mystères

    Subsistant tel un fardeau

    Menant droit au tombeau

    Se laisser emporter par le vent

    Par de hauts hurlements.

    Mais, garder un petit coin d’avenir.

    Pour ne pas se laisser mourir.

    Astres divins  

     

     

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    L’exil de l’âme

    J’aime dormir, c’est vrai et avec allégresse
    J’accueille en mon lit la nuit avec finesse

     

    Le temps défile inexorablement
    Striant ma chevelure de fil d’argent


    Je souffre. Mais pourquoi vous dirais-je tout ?
    Je me donne le droit, de cache en mon âme


    Silencieuse, l’ombre veut l’âme et non l’étoile
    Toute cette douleur reste mienne, et non à vous.


    Combien de temps me reste-t-il à vivre ?
    Avant de rejoindre l’infini des esprits


    Dans le deuil de la nuit sans fin, se prolonge
    Le bruit des profondeurs de l’ombre.


    Dans le cri de la nuit, du mal, de la douleur
    Le corps inerte ne garde que le meilleur.


    Rien n’est plus effrayant que l’exil de l’âme.
    Obscurité hideuse, où l’ombre semble infâme


    De ces années vécues, et si mal réparties
    Il ne me reste que les visions de l’oubli


    Hélas ! Dans mon esprit comme en une prison
    Le doute en souriant tenaille ma raison.

    L’exil de l’âme

    Astres divins  

     

     

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    Comment faire

    Comment faire

    Comment faire


    Lorsque l’envie de vivre nous fuit

    Lorsque les larmes remplacent les rires

    Où ? Trouver le courage de survivre.

    Dans ce grand navire qui chavire

    Comment faire

    Durant des journées entières

    On ressasse nos misères

    L’argent reste un problème

    Il nous suffoque à sa manière

    Comment faire 

    Il faut avoir un cœur de pierre

    Dans ce monde qui exaspère

    Une patience plus qu’ordinaire

    Si l’on veut qu’elle soit salutaire

     Comment faire

    Astres divins  

     

      

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    Le temps…

    Cela fait bien longtemps

    Que je n’ai plus écrit !

    Était-ce par manque de temps ?

    Ou bien n’en ai-je plus envie ?

    C’est d’une main tremblante

    Devant une page blanche

    Un air un peu boudeur

    Je constate avec frayeur

    L’image insolite et sans voix

    Celle de mon miroir.

    Une peau, bien moins lisse

    Envahie de grosses rides

    Un teint un peu blafard

    Sans maquillage ni fard

    Une chevelure gris argent

    Parsemé de fils blancs

    Le temps parcourt son chemin

    En me donnant la main 

    Astres divins  

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    L’océan

     

    L’océan

     

    L’océan lui souffle, quelques rimes en un mot

    Souvent traversée par d’infinis sanglots.

    Les éclairs sont des cris, que la foudre lui envoie

    Dès qu’elle cherche en vain un peu d’espoir.

    Elle capte l’azur, d’une douceur de femme

    Son cœur le sait aussi bien que son âme.

    Oublier ses souffrances, voir un seul instant,

    Elle ne peut y songer, cela reste évident

    Elle ressasse en un mot ce dont elle a souffert

    Et dois faire peu de cas de tout ce bleu superbe.

    De cette grâce où l’ombre en clarté se dissout,

    En un vaste sourire, s'épanouissant sur tout...

    Astres divins   

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    L’homme

     

    L’homme

     

    L’homme devient hors la loi

    Lorsqu'il bafoue les droits

    Gâchant son propre avenir

    En négligeant sa survie

    Ne pensant qu’à combattre

    Pour des idées insondables

    Au nom d’une religion

    Il se gave de conditions

    Obtiendra-t-il ce qu’il attend

    Entre vagues et tourments

    Un jour viendra,

    Ou l’homme regrettera

    Les combats futiles et ingrats

    Trop tard, il se souviendra !

    Que le bonheur

    Ne rime pas avec horreur.

    Les lois nécessitent un respect

    Afin de vivre dans le calme et la sérénité

    Des choix s’imposent à leurs yeux

    Pour vivre pauvre, mais heureux.

    Tout reste donc encore possible

    Seule condition restée paisible !

    Afin que la vie devienne plus riche

    Éclatante d’amour et de délices

    Seulement voilà, l’homme reste obstiné

    Et devient tel une rose fanée

     

    Astres divins  

     

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