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    La vie

     

     

    La vie

     

    Lorsque l’on entrevoit sa vie

    On en oublie nos rêveries

    On sanglote, puis on rit

    On souffre et l’on gémit

    On brode la nostalgie.

    Qui revêtit nos vies !

    Aux creux de nos mémoires

    On analyse le désarroi

    D’une complainte soumise !

    À la porte du paradis

    On comprend alors que la vie,

    Celle que l’on a choisie

    Passe dans un soupir.

    Relatant une vie que l’on n’a sut chérir

     

    Astres divins  

     

      

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    L’ombre du passé

     

    L’ombre du passé

    L’ombre du passé 

    Dans l’ombre du passé

    Vivre pour oublier

    Nos moments d’aigreurs

    Intensif ; moment de douleurs.

    Durant des jours des mois

    On demeure sans voix

    Voulant tout délaisser

    Passé, présent, et avenir

    Tout repousser et s’enfuir

    Ne plus voir l’aurore se lever

    Ni l’aube, se coucher

    Vouloir oublier son identité

    Pour oublier son passé

    Ne plus parler, juste dormir

    Pour oublier nos supplices.

    Ne plus oser se libérer

    Des ombres du passé

    Fermer les paupières

    Garder nos mystères

    Subsistant tel un fardeau

    Menant droit au tombeau

    Se laisser emporter par le vent

    Par de hauts hurlements.

    Mais, garder un petit coin d’avenir.

    Pour ne pas se laisser mourir.

    Astres divins  

     

     

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    La muse dans la tourmente

    La muse dans la tourmente

    La muse dans la tourmente

     

    Hier, le diagnostic est tombé

    Tel un couperet.

    Des larmes de sang ont jailli

    Emportant son beau sourire 

    Elle connaissait la vérité

    Et refuser la réalité

    Néanmoins, voilà aujourd’hui

    Son ciel est devenu gris

    Saura-t-elle détenir assez de courage

    Pour traverser ce douloureux naufrage.

    Surmonter cette souffrance physique

    Telle une empreinte indélébile

    Tourmentée, égarée et soumise

    Elle doit peindre avec dignité

     Les disgrâces physiques imposées.

    Le temps reste la seule porte ouverte

    En cette période printanière

    Lui seul saura gommer son chagrin

    Un peu plus chaque matin

    Ne sachant comment faire  

    Pour changer son ordinaire

    Son mari l’aide de son mieux

    Chassant les larmes de ses yeux.

    Sa plume saura-t-elle l'aider

    Dans cette étape imposée?

    Elle devrait y parvenir; cependant   

    La muse demeurera absente.

    Durant un certain temps.

    Juste le temps d’apprendre.

    À réguler des pas incertains

    Auprès des siens...

    Astres divins  

     

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     Jour après jour 

    Chaque jour, il ne peut se lasser

    Contemplant avec sérénité

    Ce doux visage enveloppé

    De beaux cheveux couleur de jais.

    Jour après jour ...

    Ceux-ci tombent sur ses fines épaules

    Embellissant son émoi d'un écrin d'émeraude

    Devant l’éclat de ce teint de porcelaine

    Son cœur brise les chaines de la haine

    Jour après jour ...

    S’abreuver au contact de ses lèvres

    Dans l’éclat de ses yeux de jade

    Il se perd, et du monde s’éloigne

    Nul besoin de soleil dans le ciel

    Jour après jour ...

    Elle sait lui donner cet amour né.

    Depuis de longues années

    Elle reste son oasis de paix

    Refuge où il peut s’abandonner

    Astres divins  

     

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    Il suffit

     

    Parfois, il suffit d’une étincelle

    Pour que renaisse cette ivresse

    Cet espoir que l’on a condamné

    Dans un délire inavoué

    Certaines paroles dites avec sincérité

    Engendre un délice,  une félicité

    On y prend gout et l'on se laisse envouter

    Par cet instant magique, voir singulier

    Alors, on ne veut plus lâcher ce fil conducteur

    Qui engloutit  nos chagrins et nos pleurs

    Mais, lorsque l’on ouvre les yeux

    On s’aperçoit que l’on est toujours malheureux.

    Astres divins  

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    Je veux voir le bleu du ciel 

    Je veux voir le bleu du ciel

    Les jours passent inlassablement 

    Rendant mon calvaire épuisant

    Je n’ose plus écrire certains mots

    Ayant peur d’en dire trop 

    Celui-ci me nargue à sa façon

    Jusqu’à en perdre la raison

    Le chemin devient rare

    Loin des soucis et des tracas.

    Nous aimerions que tout s’arrête

    Que tout le mal disparaisse!

    Ne plus souffrir, juste dormir

    Avec aux lèvres un beau sourire.

    Même si l’on a du mal à l’apercevoir

    On veut encore garder l’espoir.

    Dans un recoin de la mémoire

    Y fustiger nos idées noires.

    Puis se dire enfin mon tour est arrivé

    Moi aussi je veux rire et chanter

    Je ne veux plus souffrir, mais vivre

    Oui ! je veux sourire à la vie

    Sans marcher, l’étape reste cruelle

    Mais, je sais qu’au bout du tunnel.

    Entre les nuages brille encore le soleil

    Je veux encore voir le bleu du ciel... 

     

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    Elle aimerai

    Elle aimerait

    Elle aimerai

    Les yeux fermés, elle se repose.

    Les mots possédants portes close

    De rimes folles, en simples écrits

    Elle s’abandonne dans un cri

    Elle aimerait...

    N’ayant trouvé nulle volonté

    D’oublier plume et encrier

    Même si parfois, elle tint le bonheur

    De voir certaines splendeurs

    Elle aimerait...

    Comme, contempler au travers, des nuages

    Le reflet étincelant d’une étoile

    Sonder, de son regard luisant

    Le zénith au firmament

    Elle aimerait...

    De ses yeux couleur de la nuit

    Aux reflets d’une lueur insolite.

    Stigmate, apothéose du moment

    Échos, d’une lune d’argent.

    Elle aimerait...

    Inopinément, la tête étourdit

    Gracile, elle poursuit

    D’infimes mots à écrire

    Afin de récupérer le sourire.

    Elle aimerait...

    Absente depuis quelque temps

    Cédant aux caprices du vent

    Sa convoitise reste sa muse

    Isolé sous un nuage de brume

    Elle aimerait...

    Bien qu’elle subsiste en solitaire ;

    Elle l’écrira dans le sommaire

    Dans un poème exécuté

    Au gré du vent de ses pensées

    Elle aimerait...

    Délicate et fluette

    Elle vous contera fleurette

    La poétesse au cœur fragile

    Vous, guidera dans son délire.

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    Droit de vie ...Droit de mort ! 

    Droit de vie ou de mort

    Ceux qui sont dans la nuit ont raison lorsqu'ils s'expriment :

    Rien n’existe ! Car c’est dans un rêve qu’ils le vivent.

    Ils rêvent de toucher l’étoile au firmament

    En sacrifiant la vie de bien des innocents

    Droit de vie ou de mort ?

    Ils l’approchent toujours, mais sans jamais l’atteindre,

    Lui, l’être qu’on ne peut toucher, ternir, éteindre.

    Rien n’existe à leurs yeux, seul dieu d’adoration

    Qu’ils peignent en un flamboiement profond

    Droit de vie ou de mort ?

    Ne croyez surtout pas que vous ne serez point puni

    Tout revient dans les limites, qui sont celles de l'infini

    Cessez votre idéal dans vos circonférences

    Entre les astres, le monde, nulle apparence.

    Droit de vie ou de mort ?

    Je ne vois pas pourquoi je ne vous dirais point

    Ce qu’à d’autres j’ai dit, sans vider mon venin

    Eh bien, démasquez-vous! C’est vrai, votre âme est noire ;

    Sortez de ce cercle, nommé forme oratoire.

    Astres divins  

     

     

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